[Rp] " Chez Red Bull "

Mato-sapa entra dans le saloon en s'amusant à ouvrir les portes à battant d'un coup de pied, pour faire comme les "vrais" visages-pâles ...
Il pouvait le faire, le saloon était encore tout neuf et encore vide ! Y'avait même pas de gérant !

- Allez, Tharaz ! Viens, on va se servir et causer devant un verre, ça te fera moins mal à la gorge que le calumet ! :niark:

T'es surpris hein ? ... Ben oui, ton nom tu me l'as dit et en plus, je l'ai lu sur les papiers dans tes affaires cette nuit pendant que tu ronflais ! Eh oui, j'aime bien savoir à qui j'ai à faire, alors je me renseigne !...
Assieds-toi à la table que tu veux, je passe derrière le bar pour prendre une bouteille et deux verres, j'arrive, et je t'explique tout !
[Rp] " Chez Red Bull " Empty_bottle

... Euh ... Tu dira pas à tout le monde que je suis bavard ! Hein? Là, c'est passk'y faut... HIPS! ... quech't'essplik plein de choses pi k'tu m'es sympat'HIC ! ... tombant la tête sur les bras sur la table : Rrroonnnn!Zzzzzz....

Non seulement le vieux briscard parlait parfaitement la langue des blancs, mais en plus il en connaissait les us et habitudes. Un vrai garçon vacher, à le voir rentrer ainsi dans le saloon. Tharaz n'était peut-être pas au bout de ses surprises. Il retira sa casquette et s'assit. Ca faisait plutôt bizarre de voir un saloon tout neuf, ceux qu'il avait écumés avaient en général essuyé bien des rixes et autres joyeuses fêtes. Le miroir brisé, les filles de joie, les crachats maculant le sol, tout ça faisait partie du décor d'un saloon digne de ce nom dans son imaginaire. Celui-ci était à l'image d'un monde nouveau, qui restait à construire. Et ça, ça le mettait en joie.

A la bonne heure, vieil homme. Je suis plutôt surpris, oui. A vrai dire je n'arrête pas d'être surpris depuis quelques temps. Bientôt je ne serai plus étonné de rien. Fais nous donc goûter ton poison, que ça nous chauffe un peu le sang, et explique-moi tout.

RrZzz...Hein ?! ...
Ah oui ! Je disais ... quoi déjà ?...
Oui, ... le saloon est tout neuf, on est en train de construire tout ici ! ... Et on cherche des bras et des têtes ! ... Moi je demandais rien, je voulais vivre seul, mais à mon âge c'est pas facile ... Attends, je retourne chercher une bouteille, faut tout faire soi-même ici !

Donc !... On est arrivé pour planter les premiers piquets, on était que trois ici ...

servant un verre à Tharaz puis buvant à la bouteille ...

L'alcool ! ... C'est l'ennemi de l'indien ! ... de l'homme blanc aussi, mais il le sait pas encore ! ... Mais ...
Mais il arrive de plus en plus de monde et va leur falloir de la distraction ! glou-glou-gloups !...

On a un saloon, mais y'a pas de gérant ni de shérif pour que les lieux soient Respectés par la Population et qu'y z'y parlent comme y faut ! Burps ! Pardon !...
Alors en tant qu'ancien ici, je te propose de tenir le poste !

sortant discrètement une étoile de son sac de peau
Regarde ! ça te tente ? ...
[Rp] " Chez Red Bull " 80440251do3

Tu aurai tous les pouvoirs sur les discussions dans la ville !

Tharaz vida son verre d'un trait pour s'en remettre. Il s'était dit que plus rien ne l'étonnerait, c'était encore loupé. Dans l'ancien monde, les flics étaient ses pires ennemis. Mais là, c'était différent, il s'agissait de construire un monde nouveau. Il se resservit un coup et refléchit en silence, laissant la pendule ponctuer son moment de reflexion.

Le pouvoir n'est pas ce que je cherche, mais si je peux contribuer à ce que le Règne de la Paix soit respecté, je suis ton homme. Mais tu sais comme moi que l'ivresse de l'alcool n'est pas le seul vice que mes congénères amènent avec eux, l'ivresse du pouvoir est une arme plus insidieuse encore. Ainsi, j'espère rester sobre de ce point de vue là, du moins. Parce qu'au niveau de la bouteille, c'est trop tard.

Il lança un regard complice vers celui qu'il considérait dorénavant comme son ami.

Entre dans la taverne et lui trouve un coté désuet

"Il manque la touche d'une femme ici"

Eclate de rire et prend une guenille pour épousseter pendnat que les 2 hommes se saoul a chaque fois qu'elle passe près d'eux s'assure de croiser le regard de Peaudours

Peaudours - Mato Sapa serra la main de son nouvel ami en lui laissant l'insigne au creux de la paume.
- Je sais, je sens que tu saura faire un bon Représentant du Peuple dans cette ville et si la loi des blancs de l'Est nous rattrape, tu aura les moyens de leur expliquer la nôtre !... Nous serons toujours derrière toi !

Il se leva pour sortir tout en regardant du coin de l'œil la jolie indienne qui s'affairait discrètement. Il lui aurait bien proposé de partager son tipi, mais il était trop tôt, ils ne se connaissaient pas encore assez, il ne savait pas si elle était libre ... et puis il devait partir pour son camp de chasse, remplir une mission personnelle.

Avant qu'il n'ait le temps de quitter lui sourit et dit:

"Tu quitte si tôt, mais tu ne m'a pas fait visiter la ville encore?
Je me sens si seule en ces terres arides un peu de compagnie m'aurait fait du bien"

Range les derniers verres sales et se tourne vers lui

"Y aurait-il un tipi ou chambre libre pour moi ce soir?
Ne me faite pas les gros yeux ....
je sais je suis une jeune femme célibataire qui voyage seule
mais je sais me défendre"

Ne sachant quoi dire, ému devant cette jeune femme si sûre d'elle, lui le "brave" se surprenait à perdre ses moyens ... Rougissant ... (si l'on peut dire !) il lui répondit doucement et en soignant ses phrases, ce qui changeait de son ton bougon habituel :

Je dois partir pour mon camp de chasse, je ne reviendrai que dans autant de nuits que les doigts de la main ... Mais ... si tu as faim ou froid, tu peux t'installer dans mon tepee, celui à côté de la baraque du Pony Express, et y faire comme chez toi, il n'y aura personne pour t'ennuyer, j'y suis seul d'habitude.

Lui sourit avec tendresse car cet aveu provenant d'une homme si orgeuilleux et sage lui allait droit au coeur

"Merci Peaudours ta générosité te sera récompenser je veillerais a ton Tipi
comme s'il était le mien.
Et a ton retour je m'assurerait de monter le mien près du tien question de ne pas m'ennuyé de mon ancien chez moi mêm s'il est temporaire"

Éclata de rire et le suivi espèrant de tout coeur faire un bonne impression sur lui pour ne pas a avoir a déménager à son retour...

Tharaz se leva pour aller tant bien que mal faire ce qu'il avait à faire, c'est à dire construire sa cabane. Il avait repéré un stock de bois non loi, qui devait servir à lacérer la plaine par le chemin de fer. Ce bois là servirait à construire a cabane de Tharaz, c'était écrit. Ses talents de "serrurier" qu'il avait acquis par son passé allait lui servir une fois de plus, et il n'était pas mécontent de se refaire un peu la main.

Il tituba un peu et observa le petit manège entre ces deux-là. La donzelle ne perdait pas de temps, et le sage ressemblait maintenant à un jeune adolescent à peine pubère. Il ravala ses railleries -pour le moment- et salua la jeune femme en mettant joignant son index et son majeurs, qu'il aposa sur le bord de sa visière. C'était comme ça qu'on saluait, là d'où il venait.

M'zelle...

En passant, il donna un léger coup de coude entendu à l'indien, avant de s'éloigner. Il ferait les présentations avec cette femme plus tard. Elle semblait s'occuper du saloon à merveille.

Salua le nouvel homme de loi de leur village d'un signe de tête
elle aurait bien la chance de lui parler lorsqu'il aurait moins a faire

L'hôtel venait d'ouvrir ... Peaudours voulait se souvenir de ce que c'était que de dormir dans un lit ...
Mais pour y aller, il fallait passer devant le saloon ...

Le saloon, ce lieu de perdition pour les indiens, là où l'alcool frelaté brûlait toute intelligence dans la tête ... il suffisait de voir comment en sortaient les visages-pâles après des soirées bien arrosées !
Alors les natifs qui n'étaient pas habitués à l'eau de feu, vous imaginez !...
Heureusement que les chevaux connaissaient la route et voyaient clair à la place de leurs "patrons" !

Mais bon ... quand on y a goûté ! ...
Alors le sang-mêlé (Hé oui, Peaudours n'était pas pur indien ... mais c'est une autre histoire !) entra pour se servir un bourbon. Il n'y avait personne, il se versa un verre qu'il aurait pu déguster si ça avait été du bon, mais ça "arrachait" trop, il le vida d'un trait.
Son verre avalé, il partit voir ce que c'était que de dormir sur un matelas de visage-pâle avec un mal de tête de visage-pâle ... Il avait des choses à oublier ...

Tharaz vint donner un coup de chiffon au saloon. Il revenait d'une vadrouille, histoire de financer les nombreux chantiers en cours et de s'entrâiner à la chasse au lance pierre. Il s'était un peu balladé en ville, et avait vu pas mal d'animation. La tribu était en plein essor. Il avait même aperçu son vieil ami. Beaucoup de monde au lieu de culte. Ce n'était pas sa tasse de thé mais il respectait les pratiques de ses frères.

Il se perdit un moment dans le silence assourdissant du saloon, puis ouvrit de l'intérieur les battants de la porte par un vigoureux coup de pied. Il visa la cloche du lieu de culte avec son lance pierre, bandé à bloc.

Biiiinnngggg!!!!

Il avait eu le temps de se faire la main.

TOURNEEEEEEEE GENERAAAAAALEEEEE!!

Encore tout poussiéreux, il s'affala sur une chaise et commença à vider le contenu d'une bouteille en prisant de temps en temps une pincée de tabac. Ca décrasse les tuyaux.

De l'extérieur, Peaudours avait entendu le cri ! Il entra sur la pointe des mocassins en rasant les murs avec difficulté pour ne pas se faire voir, car Tharaz à son habitude était face à la porte ... TOUJOURS face à la porte et jamais le dos à une fenêtre ! ... ce n'est qu'à proximité de son vieil ami qu'il lui cria dans l'oreille
ALORS !? ... ON BOIT SANS LES AMIS !? [Rp] " Chez Red Bull " Water

Puis posant son gobelet sur la table afin qu'on le lui remplisse, il s'assit à côté de Tharaz essayant de mettre comme lui les talons sur le bord de la table ... mais Peaudours ne faisait que cinq pieds cinq pouces et le mobilier de ces visages-pâles de l'Ouest n'était pas à sa taille ...

Hehaka, apres avoir sorti du lieu de prière marchai tranquilement dans les rue de la ville ... un peu desert, entend du bruit. il tourne la tete, leve les yeux et voit "Saloon"

hm

il monte les quelque marche puis jette un oeuil a linterieur et voit deux hommes alors il entre. Il pousse les battants et entre a petit pas dans le saloon.

B..bo..bonjour !

Il saporoche timidement de cet homme affaler sur la chaise qui vide une bouteille et de lautre quil voit de dos ...

Peaudours, à essayer de mettre les talons sur la table fini par basculer avec sa chaise et se retrouve à plat ventre par terre, nez à ... perlage Lakota ... à embrasser des mocassins !

Hehaka suprit par la chute de l'homme qui lui fait dos, sort son arme en reculant dun bon pas en arriere pret a bondir.

Il baisse les yeux et voit le pauvre malheureu étalé de tout son long a ces mocassins. Il le detaille des pied a la tete puis ce radouci et baisse son arme ... un peu honteu davoir degainer si vite

heu hm ... ca va aller ? quel chute !

Il ce penche vers lhomme et lui tend la main

Levant les yeux et réjoui en attrapant la main tendue :
HeHaKa ! Je savais que tu étais dans le coin ! Je savais bien que tu viendrai à "Nations amérindiennes" un de ces jours ! ...
confus et se relevant en se dépoussiérant :
...Heu ... j'étais en train de montrer à Tharaz comment on peut éviter une balle dans le dos ! ...

Tharaz riait beaucoup. De revoir Peaudours, d'abord, le mettait en joie, puis sa démonstration de comment se jeter à terre en cas de fusillade, puis l'expression de surprise de cet homme qui venait d'entrer. Il nota cependant qu'il était prompt à sortir son arme, et ne semblait pas maladroit. Un peu émotif peut-être.

Avec des gestes lents, il attrapa deux verres et servit les deux hommes.

Bienvenue à toi. Les amis de Peaudours sont mes amis.

Puis il envoya une tape amicale à son pote, qui semblait avoir bien changé.

Alors, grigou? Ou es-tu encore allé batifoler? Es-tu parti à la recherche de cette jolie femme, que je n'ai jamais revue? Ou peut-être es-tu parti à la recherche de la richesse, ou de la paix de l'âme? Les choses avancent, par ici.

A l'aventure ! .. J'étais parti à l'aventure ! Je crois que c'est ma vocation de toujours me mettre dans des coups tordus ! ...
Mais d'abord, je te présente Hehaka, un véritable ami (comme toi) mais surtout un véritable Amérindien ! (tu remarquera qu'il ne maîtrise pas toujours bien notre langue ! Un peu comme moi au début qu'on s'est rencontrés, mais moi c'était pour te faire marcher !) Il m'a soutenu dans certaines bagarres, expliqué des choses sur sa tribu et depuis ... ben voilà ! ... Comme deux frères !...
Levant son gobelet
A la vôtre ! ... Pour la jolie femme, si si je l'ai revue, mais ... je te raconterai plus tard ...

Hehaka sourit puis rit et sinstal a la table avec les deux autre homme.

jai pas reconu mon ami tu a couper les cheveux ? Pardon davoir sortit mon arme, cest que tu ma surpri a tomber comme ca a mes pied.
Merci de maceuillir dans votre ville vraiment

Il sourit a Tharaz et regarde Mato puis passe sa main dans ses cheveux comme pour donner un peu de contenance

Tu fais bien de rester vigilant, mon frère, car nos terres ne sont pas sûres. Un soudard s'y promène et attaque les ouvriers sans défense. C'est un coyote. Il ressemble à un soldat mexicain, un peu comme moi, bien que je n'aie rien de mexicain, mais le soleil aidant...

Il se lissa les moustaches, finit son verre et le fit claquer sur la table.

Il dit s'appeler Berbir et c'est un fourbe. Si vous le rencontrer, le fuyez ou abattez-le, vous aurez ainsi vengé vos frères.

se levant pour attraper une autre bouteille derrière le bar
Faut tout faire soi-même ici !...
remplissant les verres
même la police alors ! ... C'est risqué d'abattre tout ce qui ressemble à un soldat mexicain ... va y'avoir des morts ...
Quoique ! "Remember Alamo !" et un "graisseux" de plus ou de moins ... déjà qu'on est envahit par les "Yan-Kees" ...
Bon, je finis mon verre et je vais y aller, j'ai un poste d'adjoint en vue à la capitale. La bouteille c'est sur mon compte pour arroser ça !
En attendant, l'autre, je note son nom : "Berbère"...

jai eu une attaque et meme deux ! éviament jai perdu ces malfrat mon prit par surprise ! plus la fatigue de ma journé de travaille, jai pas pu me defendre ...
Cest pour ca maintenant je suis sur mes garde.

Hehaka regarde leur bouteille d'eau de feu et fait la mou

hmm heuu ... dit ... tu a pas du jus pour moi ? ^^

» Origine du nom "indien d'amérique"